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Il est toujours difficile, en astrologie, de prévoir les conséquences d’une épidémie. Rappelons-le, pour nous, la fatalité n’existe pas. Toutefois, la symbolique du zodiaque et des planètes peut nous éclairer sur certains phénomènes collectifs.
Comme annoncé en janvier, cette nouvelle rubrique se propose de résumer au début de chaque mois les temps forts qu’annoncent les mouvements planétaires les plus importants. On se rappelle que nous vivons toujours sous la toile de fond de la grande conjonction Saturne-Pluton fin Capricorne, ainsi que la progression de Jupiter en Capricorne, qui alourdit le climat général.
Après les tensions de la Pleine Lune du 12 décembre, c’est une bonne nouvelle. Uranus apporte de la nouveauté, de la fraîcheur et de l’inattendu. Certes, la planète se trouve en Taureau, où elle doit composer avec la force d’inertie de ce signe mais c’est déjà le cas depuis le 6 mars dernier, donc nous sommes habitués à ce contexte. Par chance, dans le cas présent, l’énergie du Capricorne permet d’asseoir de manière positive celle d’Uranus.
Pluton a été découvert par Clyde Tombaugh en 1930, bien après Neptune et Uranus. À cette époque, Pluton est si lointaine que son diamètre ne peut pas être déterminé avec précision, mais sa faible luminosité et son absence de disque apparent laissent présager un corps plutôt petit, surtout comparé à celui des deux géantes qui sont les plus lointaines planètes identifiées alors, soit Uranus et Neptune. Voilà pour la découverte.
Le première Pleine Lune de l’année a donc lieu le 10 janvier, à 20h23, temps universel. Elle présente, à cette occasion, une éclipse partielle de Lune, qui sera visible pour les observateurs d'Europe, d'Afrique, d'Asie et d'Australie. Le phénomène ne sera pas perceptible depuis l'Amérique du Nord et du Sud. Il faudra donc voir si des évènements particuliers s’accordent au symbolisme d’une éclipse lunaire et surtout dans ces régions.
Planetavenue est un site d’astrologie qui se veut en phase avec l’actualité tout en se donnant la liberté de traiter, parfois, des questions de fond touchant à la mythologie ou à des techniques particulières d’interprétation. En 2020, le champ de traitement des sujets sera élargi avec plusieurs rubriques qui seront autant de rendez-vous réguliers qui reviendront chaque mois.
