Astro-édito de février: Mercure rétrograde et le coronavirus.
Il est toujours difficile, en astrologie, de prévoir les conséquences d’une épidémie. Rappelons-le, pour nous, la fatalité n’existe pas. Toutefois, la symbolique du zodiaque et des planètes peut nous éclairer sur certains phénomènes collectifs.
Ainsi, le signe des Poissons – qui possède plein de valeurs positives- est aussi en en correspondance avec les maladies et même les pandémies. C’est ce que nous apprenons lors des cours d’astrologie de base, en assimilant le champ lexical des signes. Or, en ce mois de février 2020, nous devons donc être particulièrement attentif à la rétrogradation de Mercure dans ce signe, qui commence le 17 février, alors que la planète se trouve à 12° des Poissons, et durera jusqu’au 6 mars. A cette date, Mercure reprendra sa marche à 28° du Verseau.
Les spécialistes de rétrogradation le savent bien, toute la période de la «boucle de rétrogradation» est considérée comme sensible (en l’occurrence depuis le premier passage de Mercure à 28° du Verseau, qui s’est produit le 2 février et dure jusqu’au 30 mars, quand Mercure dépassera les 12 degrés des Poissons.) Voilà pour la technique.
Dès lors, il est très frappant de constater que Mercure, la planète de la communication, nous oblige donc à revoir certaines valeurs Poissons. Il n’est pas étonnant que les liens avec la Chine, le foyer du coronavirus, soient en ce moment soumis à rude épreuve. Les habitants de Wuhan sont confinés chez eux, les étrangers sont rapatriés et les flux en général à destination de ce pays sont remis en cause.
Sans préjuger du développement du coronavirus, ce Mercure rétrograde en Poissons illustre déjà le ralentissement qui touche les échanges et le commerce. Il devrait aussi nous enseigner une réflexion plus globale à mener sur l’interdépendance mondiale dans ces domaines. Pour le meilleur et pour le pire.
